Arrivée à Yogikarta

Nous quittons donc Pangadaran en début de matinée. Un dernier petit déjeuner avec les autres touristes et nous nous dirigeons vers la gare pour prendre pour la première fois le train en Indonésie.

J’avais entenu dire que la ponctualité des trains indonésiens étaient connus, honnêtement je ne suis pas sure que nous parlions de la même car le notre a eu plus d’une demie heure de retard. Sous le cagnard des quais, je peux vous dire que nous l’avons subit ce retard.

Nous dans le train

Théandre dans le train

Dans le train, encore une fois, nous avons de la chance, il y a beaucoup de place. On ne peut pas dire qu’il fasse frais mais avec toutes les fenêtres et portes ouvertes, ce fut plus que vivable pendant les 4 heures de trajet. En plus, Théandre a décidé de nous faire une sieste géante pendant toute la durée du trajet, ce fut donc parfait.

Juste pour l’anecdote, Théandre n’a pas osé aller aux toilettes du train, non pas parce qu’elles étaient sales (ce sont toujours des toilettes à la turque alors c’est jamais vraiment sal) mais parce que dans le trou ont voit directement les rails. Vous me direz comme il n’y a jamais de papier (d’ailleurs je ferais un article sur les toilettes car il faudra m’expliquer comment se laver les fesses avec juste un bac d’eau, mais c’est un autre sujet), ça ne pollue pas vraiment.

Bref, nous voilà arrivés à Yogykarta.

Un beycak (celui là nous ne sommes pas dedans mais c’est pour que visualisiez ce que c’est)

Pour la première fois, il fait vraiment chaud et pour la première fois, nous nous sentons vraiment touristes dans une ville touristiques. Sans être étouffant, les taxis, vendeurs, et beycak e tout genre viennent nous alpaguer.

Nous marchons pour trouver l’hôtel, vite nous pouvons nous repérer en suivant les occidentaux. Il y a en réalité, une rue d’hôtels et pour ainsi dire, que des français. C’est impressionnant!
Plus de touristes veut dire des prix plus élevés, nous ne sommes plus habitués à dépenser 28€ pour une chambre d’hôtel.

Après un petit plongeon dans la piscine, je décide que nous irions voir un spectacle de danse traditionnelle précédé d’un repas indonésien.

Pour faire plaisir à notre fils, nous y allons en calèche (autant cette ville est grande autant elle est presque dépourvue de taxi, il n’y a que des calèches et des fameux beycak), je vous épargne  le prix de cette course qui fut notre première déconvenue de la soirée.
Nous arrivons donc au Purawisata pour cette fameuse soirée conseillée dans le guide.
Le repas était nul, le spectacle semblait avoir été fait par des animateurs du club med et en plus ça nous a coûté 60€! Les pas n’étaient pas coordonnées et nous sommes partis avant la fin.

 

Dans la calèche

Toujours dans la calèche

Trop de tourisme tue le tourisme! En plus, il n’y avait que des français.

Après cette soirée qui nous a coûté un bras, nous avons vraiment négocié le beykac malgré le poids de nous trois qui n’est pas bas et malgré la montée car nous n’allons pas nous faire avoir toute la soirée quand même!