Il pleut, il pleut…

6 juillet

Le ciel n’étant pas très engageant, nous ne sommes pas partis très tôt de Montevideo. A vrai dire, nous avons vraiment trainé.

Nous sommes finalement partis à la conquête de la côte, sous la pluie.

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Cela peut paraître triste car nous ne pourrons pas de faire de châteaux de sable sur la place, mais je vous rappelle que nous sommes hors saison alors de base, il n’y a ni resto sur la plage, ni équivalent du club mickey.

L’été, ces plages sont bondées et de Montevideo à Punta Del Diablo, les touristes affluent et prennent d’assaut les hôtels et campings. Le coin est plutôt réservé aux catégories aisée. Il y a même un bus (le Summer Bus) qui permet de faire un stop à toutes les plages.

Dans notre cas, nous ne nous sommes arrêtés que pour manger un très bonne paella à La Paloma et pour prendre des photos à Punta del Este à côte de la célèbre (n’en déplaise à certain) main dans le sable appelée « La mano en la arena ».

Côté pile, tout est beau

Côté pile, tout est beau

 

Coté face, quelques graffitis

Coté face, quelques graffitis

 

Punta del Este ne s’est pas montré dans son meilleur jour et pourtant nous arrivons facilement à imaginer comment cette plage immense devient l’été une espace aire de jeu avec une masse d’argentin.

Certes, la ville a les  défauts des villes côtières avec de grands immeuble, pas toujours jolis, face à la mer mais malgré tout cela donne envie d’y passer ses vacances. Sans soleil et vide, Punta del Este nous attire quand même, je n’ose imaginer ce qu’aurait été notre avis en plein été.

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Finalement, la journée fut plutôt « routière ». Nous sommes finalement arrivés le soir, dans une endroit magique qui sera le clou de notre voyage en Uruguay et qui mérité à lui seul de découvrir le pays.

Mais ça, c’est une autre histoire.

Arrivés la nuit tombée.

Arrivés la nuit tombée.

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