Queenstown 3

2 et 3 avril

Notre première nuit à Queenstown fut plutôt fraiche. Malgré les sacs de couchage supplémentaire que nous avions acheté la veille.

Nous remédierons à ça plus tard.

Avant, il faut prendre un petit déjeuner et nous avions vu quelque chose qui nous faisait bien envie lors de notre mini balade de la veille : une boulangerie !

Et comme vous le savez, dans une boulangerie, il y a toutes sortes de choses mais surtout, des croissants.

Ca lui manquait vraiment!

En journée, cette petite ville montre son autre face encore plus charmante. C’est une station de ski typique avec ses restaurants décorés en bois, des cheminées devant lesquelles l’on peut boire vin chaud et ses crêpes, des boulangeries et autres petits commerçants. C’est également une ville qui a su vivre hors de la saison d’hiver en offrant une gamme d’activités impressionnantes aussi bien pour les sportifs que pour les amateurs de sensation forte.

Nous ne pouvons que confirmer que cette ville est vraiment un passage obligé en Nouvelle-Zélande.

Avant d’entre dans le vif de la journée, un autre petit détour chez le garagiste cette fois, pour remplacer notre pneu qui souffre d’une hernie (ne vous moquez pas, cela existe également chez nos amis les pneus). Nous en profitons au passage pour vanter le service de Rent a Car qui nous a trouvé un garagiste à côté et efficace sans que nous ayons à avancer les frais.

Petit détour chez le garagiste

L’activité la plus familiale de la station est la luge. Il y a bien le rafting qui aurait pu convenir à Théandre mais nous devions choisir alors nous avons opté pour celle qui ne nous mouillerait pas.

Pour accéder au circuit de luge, vous devez prendre le téléphérique puis le télésiège. Certains ne peuvent y accéder faute de pouvoir vaincre leur vertige. Heureusement, cela ne nous concerne pas (encore).

La luge ne se fait pas sur la neige mais sur une piste de béton et franchement, c’est super. Les petits peuvent le faire avec leurs parents sur une piste lente (lente, lente, tout est relatif) et les autres sur une piste rapide. Pas révolutionnaire comme invention mais toujours appréciable.

Après un petit repas au sommet de la montagne, direction le bateau à vapeur. Vieux de 130 ans, le fameux TSS Earnslaw se ballade dans sur le lac pendant 2h et vous pouvez voir la machinerie à vapeur qui fonctionne, la fumée noire qui pollue et entendre le son du sifflet (« comme Thomas »).

Un  peu cher pour ce que c’est mais le soleil était là et malgré le petit vent frais, la promenade fut agréable.

Avant d’entamer notre nouvelle nuit, nous courons acheter de nouveaux pulls, chaussettes et autres accessoires pouvant nous aider à passer une meilleure nuit.

Le lendemain, nous avons réservé pour NOTRE activité extrême « la balançoire géante ». Nous savions que ce serait long pour Théandre et nous décidons de refaire un tour aux luges le matin afin qu’il ne nous en veuille pas trop lorsqu’il devra nous attendre.

Avant toute chose, passage obligé à la boulangerie

Croisant qui faut bien protéger de la pluie

Pour lal luge, le temps n’étais pas vraiment au rendez vous.

Comme son nom l’indique, la balançoire géante est une balançoire géante au milieu d’une vallée. Les images seront plus parlantes.

Bien entendu, vous avez peur mais cela pourrait être encore plus effrayant si nous étions maître de la chute. Les employés, très gentils, doivent suivre une cadence (je suppose) et c’est eux qui décident quand la balançoire va se jeter dans le vide. Vous n’avez pas l’adrénaline qui monte comme lorsque vous suivez un décompte ou lorsque vous devez vous jeter dans le vide comme lors d’un saut à l’élastique.

un long pont suspendu pour accéder à la passerelle

Si vous regardez bien, vous pouvez voir une tache de couleur en bas.

Cela dit, cela reste une expérience unique. Même Théandre a apprécié le spectacle, il en a oublié de terminer la sucette tant demandée offerte pour l’occuper.

Si vous regardez bien, vous pouvez voir une tache de couleur en bas.