A nous la Polynésie Française 2

24 avril- 25 avril

Pour ceux qui arrivent à suivre la chronologie de notre trajet, vous remarquerez que nous sommes partis le 25 d’Auckland et que je note que notre séjour en Polynésie commence le 24.

Pour ceux qui n’en aurait rien déduit, c’est parce que nous avons volé dans le sens inverse de la terre. Nous avons gagné une journée, nous pourrions presque dire rajeunit d’une journée!

Nous arrivons tard le 24 avril et, fidèle à nos habitudes nous n’avons rien prévu. Encore une fois, nous avons tenté de réserver un hôtel mais notre connexion Internet n’arrêtait pas de couper là où nous avions passé la nuit et nous avons du abandonner.

Dans notre hôtel pour notre première nuit. Il fait déjà chaud.

Dans notre hôtel pour notre première nuit. Il fait déjà chaud.

Honnêtement, c’est fatigant de tout prévoir à l’arrivée. Le peu de fois où nous réussissons à nous y prendre à l’avance; nous sommes très fiers de nous, et, c’est tellement reposant.

Mais bon, ce n’est pas notre cas. Nous arrivons à Papette, capitale de l’île de Tahiti et de la Polynésie Française le soir, sans savoir ou dormir.

Heureusement, Papette n’est pas les iles Salomon.

Premièrement, on y parle français. Nous n’y étions plus du tout habitué. Nous devons nous retenir pour ne pas insulter ou critiquer les gens, nous devons nous retenir lorsque nous nous chamaillons. Nous redécouvrons presque notre langue.

Deuxièmement, c’est un pays développé. Nous pouvons retirer de l’argent au distributeur de l’aéroport, nous pouvons prendre un taxi qui a un compteur et nous pouvons même espérer avoir une bonne connexion Internet (car oui, je pensais que c’était fini, mais non, il me faut toujours une bonne connexion Internet).

Troisièmement, le tourisme les fait vivre alors tout le monde est gentil avec nous.

Conclusion, le chauffeur de taxi nous emmène dans un hôtel du centre ville avec une connexion Internet. Nous découvrons que les iles ne sont pas bon marché et que les prix sont plus élevés qu’en France.

Après une courte de nuit, nous décidons de reconsulter notre Lonely Planet pour organiser notre voyage. Mais la Polynésie, comme tous les archipels, c’est plein de petites îles reliables en avion ou bateau. Nous ne connaissons pas les distances entre elles, ni le moyen pour s’y rendre, ni le temps à passer sur place. Bref, nous sommes lassés avant d’avoir commencer.

Je décide de me faire aider par les forums qui ont toujours des bonnes idées. Nous découvrons que tout le monde passe par des agences car si l’on ne s’y connaît pas, l’organisation est vraiment trop compliqué.

Dans un ascenseur.

Dans un ascenseur.

Une seule agence ressort de tous les témoignages comme étant sérieuse et bon marché; e-Tahiti.

Comme nous sommes à côté, nous nous y rendons et malgré que ce soit une agence en ligne, nous sommes reçus sans problème. Nous lui parlons des îles que nous voudrions faire (car oui, nous l’avons quand même étudié notre Lonely) et de notre budget.

En attenant, nous lui demandons si elle connaît un hôtel avec mini- club car là, après 3 jours de voyage et une maladie, la patience que nous avons envers notre fils est en train de fondre comme neige au soleil. C’est bien simple, si personne ne nous le prend, nous ne savons pas ce qu’il adviendra de lui.

Malgré que nous soyons toujours avec lui, c’est rare que nous soyons aussi éreintés face à lui. Là, il atteint nos limites.

Nous atterrissons au Radisson, heureux de profiter de notre après-midi.

Notre déception fut abyssale lorsque nous découvrîmes que le mini club n’était que le week end!

Après une énième colère (de fatigue je suppose), il a fait une grosse sieste qui nous a permis de décompresser et d’affronter la mise au lit du soir qui fut bien compliquée (à cause de la grosse sieste de l’après- midi).

Nous avons déjà eu les devis pour notre voyage. Nous partons donc le 27 avril de Tahiti direction les petites îles.

En attendant, nous restons au Radisson, qui n’a certes pas de mini club mais qui nous a fait un super prix sur notre chambre et qui en plus regorge d’enfant apte à jouer avec le notre, mais ça, nous en parlerons demain.

 

 

 

 

Des danses tribales

Des danses tribales

 

 

Il se prend au jeu

Il se prend au jeu

 

Ca y est, il n'a plus de limite (à part nous, car tout le monde tentait de prendre des photos des vahinés, mais notre fils ne les intéressait pas trop)

Ca y est, il n’a plus de limite (à part nous, car tout le monde tentait de prendre des photos des vahinés, mais notre fils ne les intéressait pas trop)

 

Là, il avait le droit; alors il a pu se lacher

Là, il avait le droit; alors il a pu se lacher

 

Une fois la troupe partie, il a enchainé sur un magnifique concert à l’aide du micro qu’ils avaient oublié. Désormais, tout le monde connaît notre fils.
Lorsqu’il aussi mignon, nous oublions presque qu’il peut être une véritable teigne.

 

2 thoughts on “A nous la Polynésie Française

  1. Reply Danièle Mai 6,2013 14 h 58 min

    Une teigne? Peut-être, mais nous ne l’avons jamais vus sous cet angle… Il ne peut être qu’une teigne adorable! 🙂

  2. Reply michele Mai 6,2013 17 h 29 min

    Exactement, d’accord avec Danièle, d’ailleurs est-ce qu’une teigne a d’aussi jolis yeux bleus et autant de grâce que des vahinés?

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