La Rain Forest 1

20 février

Nous ne plongerons que demain, en attendant nous optons pour un peu de sport : le Cable Ski. Très difficilement descriptible. Nous avons tenté pendant 1h de nous tenir débout. Nous en avions encore les courbatures, une semaine après

Cela dit, nous avons quand même adoré et si Théandre ne s’était pas ennuyé nous aurions peut être un peu plus persévérés

Nous lui avions donné des bonbons pour patienter

.

A côté, nous allons voir l’autre lieu hautement conseillé par la population locale, un endroit classé à l’Unesco : la Rain Forest.

Comme son nom l’indique, il s’agit d’une forêt. Comme son nom ne l’indique pas, il s’agit d’une forêt abritant de nombreux spécimens d’arbres uniques dont les afficionados de la nature peuvent profiter grâce à des marches de quelques heures.

Comme vous l’avez peut être compris, nous ne sommes pas de futurs botanistes et nous n’en avons aucune envie et notre fils n’est pas un futur champion de marche à pied et l’envie de s’entraîner ne vient même pas à l’idée.

Autrement dit, les arbres et les marches nous en avons eu notre quota (comme les zoos d’ailleurs).

Cependant, pour voir cette rainforest, nous pouvons prendre un téléphérique de plus de 4km pendant 45 minutes et ça, nous sommes adeptes. Nous avons pu voir les personnes qui marchaient, des cascades et surement des arbres uniques que nous n’avons pas appréciés à leurs justes valeurs.

Là, Théandre saute de joie lorsqu’il voit le téléphérique

Là, Théandre est bien

Là, Vianney est bien.

Là, c’est juste une photo que j’aime bien

Au cours de la montée, nous avons quand même fait un arrêt panorama.

Où nous avons vu cette magnifique cascade.

Après un arrêt repas au sommet avec un super coin enfant.

Une pièce carrément fermée et insonorisée. Un vraie petite cage!

Pour redescendre, nous avons opté pour le train. A part la chaleur écrasante, tout était parfait. Théandre a adoré et c’était le but.

La chaleur fut vraiment écrasante

Nous avons terminé la soirée à notre cher lagon et demain, nous allons enfin plonger.

Nous y sommes restés jusqu’au bout de la nuit

tout comme les chauves-souris